La meilleure façon de découvrir le club, c'est de venir participer à 2 ou 3 séances d'entraînement avant de prendre votre décision.
RDV est donc donné tous les mardis à 18h40 à l'étang des Forges (base nautique).
Votre choix est fait. Et vous souhaitez vous inscrire, il suffit de télécharger le bulletin d'inscription :
Cotisation annuelle (année scolaire) : 66 euros
En couple : 100 euros
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C'est sous une bruine dense que l'on prend le départ de la course bien nommée "l'enfer des Vosges". Top départ en pente douce de (trop!) faible durée, puis on crapahute dans le vif du sujet par la quasi escalade d'un premier sacré talus. Les six premiers kilomètres s’enchaînent, implacables, et imposent un rythme d'alternance (surtout) de marche et de course, pour nous conduire sur des étroits sentiers menant jusqu'à une dense forêt.
Vers les sommets le sol se fait plus hostile, mêlé de boue, de neige et de glace, la course devient d'avantage technique, bordée par la verdure poudrée des sous bois.
Aucun répit cependant en dépit de la beauté alentours ! Au faux plat succède une descente abrupte et nombre de coureurs essuient la piste, portés par l'adrénaline et l'élan.
Quelques bribes de chemins et à peine l'occasion de se redresser qu'arrive la glissade finale, toboggan de boue avant la dernière pente douce jusqu'à l'arrivée, placée à la sympathique surprise de tous directement dans le gymnase .... si bien qu'on douterait presque d'y être enfin arrivé !
Vincent
46 km avec 2200 mètres de dénivelé positif, parcourus dans un décor automnal, de superbes paysages aux couleurs très contrastées, dans un environnement au top pour tous ceux qui aiment le ski de rando ! Le ton était donné dès le sas de départ où beaucoup de coureurs s’échauffaient comme des skieurs et là je me suis sentie « toute petite » ! Là-bas, très rares sont ceux qui ont couru avec des Hoka, même le quasi-monopole de Salomon était ébranlé au profit de La Sportiva, Dynafit et Scott ! Encore une très belle expérience même si la forme n’était pas au rendez-vous (satané taux de fer qui me joue de bien mauvais tours !). Parcours bouclé en 7h14, à la 277ème place sur 352 coureurs classés. Chrono pas terrible mais qui me suffit compte-tenu des barrières horaires que certains n’ont pas pu passer. Un trail à faire quand on ne connait pas la région, pour une rencontre avec un coin de nature préservé et un tracé sauvage pour vivre pendant quelques heures uniquement le moment présent. De beaux souvenirs pour longtemps…
Lucia.
Le trajet jusqu'à Damprichard ne donnait vraiment pas envie, pluie, pluie, et brouillard, et pluie ...
De toute façon sur la route, il faudra bien ...
Et une bonne nouvelle, le départ lancé, la pluie s'achève pour ne pas revenir. Très bien.
Ce sont plus de 260 participants qui s'élancent. Le départ est assez roulant jusqu'à la première difficulté : les fameuses échelles qui font bien transpirer :-).
Au dessus, beau paysage, mais grisonnant, on ne voit pas grand chose.
L'ensemble du parcours est en sous bois, néanmoins de beaux passage en pâturage et une dernière difficulté, appelé la bute, une longue, très longue montée.
Parcours sympa, un peu boueux par moment, une organisation au top et 3 ravitos sur le parcours.
Seul bémol, grosse chute pour moi par manque de concentration dans une belle descente, j'ai terminé le parcours clopin-clopant, avec un genoux qui a doublé de volume.
A l'arrivé, en voyant le sang partout, la sécurité civile m'a pris en charge pour nettoyer la plaie, gravier, boue et petits copeaux de bois dans les chairs, pour finir par quelques points de suture.
Un beau dimanche !
Je reviendrais en forme pour revoir mon chrono, 2h56 je crois, pas terrible, mais j'ai terminé, c'est l'essentiel. Encore une fois, un grand bravo à l'organisation très professionnelle.
Stéph.
Oui mais que dire ? Le plaisir n’est-il que l’absence de douleur ? Ce coup-ci, NON !
Malgré la difficulté du tracé, des conditions météorologiques, de la distance, de l’heure de départ (3h00 du mat), … et bien le plaisir était bien là ! Plaisir d’en finir certes mais pas que !!!
Plaisir de vivre cette course avec de parfaits inconnus mais traileurs et finishers aussi ! Avec juste un regard échangé et l’on sait sans même se parler qu’on a vécu les mêmes moments !
Plaisir d’entendre les encouragements des 500 bénévoles !
Plaisir de « se taper » un steak frites et une glace après ces semaines de diet et de privation !
Plaisir de retrouver Christophe, mon pote finisher également ! Et de se raconter ce que l’on vient de vivre ! Et le plaisir ne vaut que s’il est partagé !
Plaisir d’envoyer fièrement des SMS à mes proches pour leur annoncer mon classement ! 45ème en 9h53 !
Enfin voilà, beaucoup de plaisirs ! Une course particulièrement bien organisée, des paysages vosgiens forts jolis, des gens sympathiques, … tout ça à 1 heure de Belfort ! Donc rendez-vous l’année prochaine !
Vincent
Course vraiment très dure température dans l'après midi 34.5 c...pratiquement que de la montée sauf les 10 dernier kilomètres...l'accention du canigou se fait par la cheminée environ 100 mètres à la verticale..de l'escalade..je fini 121° et 3° vétérans...en 16h 43..avis aux amateurs de trail...la dernière fois que j'ai fait le canigou c'était un 100 kms mais rien à voir avec se dénivellé...et surtout avec 6 amis du club...arriver au sommet du canigou une petite pensée et hommage à un ami du club disparus tragiquement ..avec qui j'avais partager beaucoups de choses..et apris sur le trail... sinon cet une belle course à refaire ..les pyrénées reste de très belle montagnes...à plus.
Roger.
Un tracé de 42km pour 3400m+ et 3400m-, depuis Saint-Nicolas de Véroce, à côté de Saint Gervais. Une alternance de 5 montées et descentes majeures bien raides, et pour se faire plaisir sur cette course, il faut franchement aimer ce qui est costaud !
Le gros problème cette année ? La chaleur bien sûr ! 41° degrés sur un parcours 100% montagne, ce n’est quand même pas fréquent ! Être si proche du glacier de Bionnassay et suffoquer sous la chaleur, ce n’est pas banal. Départ à 8h le matin, déjà plus de 30° et les 2 premiers km parcourus en 18 mn, le ton est donné ! Malgré tout, le plaisir est là, pas les jambes car beaucoup trop lourdes en raison des températures, mais tant pis, j’enclenche le mode « économie » et j’y vais tranquillement. De nombreux coureurs m’ont doublé dans les premières difficultés, pas grave et je m’efforce de ne pas y penser, puis j’en ai retrouvé un certain nombre au fil des kilomètres, assis ou même couchés sur le bas côté, parfois fortement déshydratés, avec délires ou vomissements, ou déclarant tout simplement forfait. La première féminine a même été héliportée pour déshydratation sévère et conduite à l’hôpital de Chamonix. Et pendant ce temps-là, je progressais en veillant à ne jamais « me mettre dans le rouge » et à boire toutes les 5 minutes (avec au total 5,5 litres d’eau + les ravitos !).
Pour moi, c’était une très belle course, même si la chaleur est venue contrariée mes intentions. Sur 233 coureurs partants et 176 coureurs classés (un quart d’abandons), je fais 104e avec un temps de 8h53 et très contente, même fière, de ce résultat. Et pourtant, en 2012, j’avais réalisé cette course en passant la ligne d’arrivée en 7h26 à la 90e place. Pas facile de constater dès les premiers kilomètres que la course sera risquée et qu’il va falloir se « préserver » du début à la fin. Une chouette expérience qui prouve que la course à pied c’est aussi savoir gérer intelligemment une épreuve. Un résultat qui me conforte dans mon objectif de l’année (prévu dans tout pile dans 60 jours !) alors que les derniers mois ont été parsemés de bien des difficultés !
Et comme le dit le proverbe : « jamais 2 sans 3 », alors c’est sûr, je retournerai à Saint-Nicolas de Véroce pour refaire la Montagn’hard !
Lucia.
Le cross du Mont-Blanc est vraiment une très belle course & je vous la conseille. 23km avec 1635m de D+ / 704m de D- dans un cadre exceptionnel. Le paysage était superbe. L'ambiance était top. 4h46min dans la natuuuureee 🌲🌳🌺🌻🌿😄. Côté course, ça n'a pas été facile. Très grosse crise d'asthme à partir du 10e km jusqu'à la fin. J'ai dû m'arrêter au moins 10 fois car je ne pouvais plus respirer. J'ai vraiment eu très très mal & je vais retourner voir le médecin. La ventoline n'a servi à rien. Côté jambes, aucuunne difficulté & d'ailleurs absolument aucune courbature😄. Le trail n'a rieeeen à voir avec la course sur route et je trouve que le dernier marathon ne m'a servi à rien. Ce sont 2 sports cousins mais bien différents. 197emes sur 348 seniors femmes. J'ai perdu environ 80 places & quasi 30 min à cause de mon asthme. Pour un 1er trail & compte tenu de la douleur éprouvée, ça me va. J'ai atteint mes limites pulmonaires à ce jour. Dommage car mes jambes auraient vraiment bien signé pour le 42 km l'an prochain.
Emilie.
Un temps radieux et idéal pour les performances. Ce défis des hauts de Belfort fut l'occasion de mettre le club en valeur avec la présence de nombreux adhérents, surtout féminines ! De belles performances et une bonne humeur, une belle journée visiblement autour du chateau, de la Miotte et du lion, ...
Les résultats :
Pour les marathoniens, la préparation s’est poursuivie jusqu’au jour de la course, les derniers instants étant consacrés à la récupération physique (faire du jus !) et des dossards (qui ne sert qu’à faire monter le stress !). La traditionnelle sortie d’avant course a été remplacée par du shopping dans la ville (merci les filles) et la pasta party en verres de Malto et autres dopants autorisés.
Finalement, les marathoniens ont eu de la moule avec la météo : temps sec, pas de vent, ni trop chaud, ni trop froid. Côté parcours, pas de dénivelé, des ravitaillements tous les 2.5km et nos fervents supporteurs sur place très en verve qui nous ont encouragés et redonné de l'énergie tout au long du parcours. Des conditions idéales pour performer ! et nous nous en sommes donné à cœur joie : Vincent le vétéran termine les 42,195 km en 3:21:56 (324ème), JeF et Martin en 3:29:31 passent ensemble sous la barre des 3h30 (501ème et 502ème) et Roland termine sans forcer son 1er marathon en 3:51:55 (1039ème).
L'après-midi, Doriane a eu moins de chance avec le temps, mais la pluie n'a affecté ni sa motivation ni son sourire, et elle a réalisé envers et contre tous (30 000 participants !! ) un temps de 1:41:59 sur le "10 miles" (16km), la course la plus populaire du WE. La petite course plus prisée que le marathon : c’est vraiment le monde à l’envers…
Ces belles performances nous ont donné la frite pour le reste du week-end et nous avons pleinement profité de l’envers du décor : restaurants, sites touristiques et fameuses bières belges, sans pour autant se mettre la tête à l'Anvers…
Martin & Jef
La météo annonçait de la pluie ce dimanche 26 avril, mais c’est bien sous le soleil que la deuxième édition du nouveau Trail N’Loue s’est élancé ce matin sous les coups de 9h. Après une minute de silence en l’hommage des victimes du tremblement de terre de la veille au Népal, Gégé nous lâche dans la nature pour 32 kms à travers les sentiers de la loue. D’entrée de jeu, la première montée vers Hautepierre (4 Km, lieu du 1er ravito) se charge de faire l’écrémage et ce n’est pas par hasard si l’on retrouve les hommes forts en tête au sommet !
Puis nous sillonnons la crête sur un sentier monotrace en pâture, avec une vue à couper le souffle sur les villages de la Loue en contrebas, avant d’engager une succession de courtes et raides montées et rudes descentes vers la source de la Loue , via les gorges de Nouailles.
Puis nous sillonnons la crête sur un sentier monotrace en pâture, avec une vue à couper le souffle sur les villages de la Loue en contrebas, avant d’engager une succession de courtes et raides montées et rudes descentes vers la source de la Loue , via les gorges de Nouailles.
Soudain, la récompense : jaillissant d’une caverne large de 60 m et haute de 30 m creusée dans une paroi surplombante de plus de 100 de hauteur, nous apparait la source de la Loue qui n’est autre qu’une majestueuse résurgence du Doubs !! Magie et grandeur règnent sur cette « reculée » !!
De la source, le sentier permet de sillonner sur environ 6km les profondes gorges de la Loue après une bonne partie d’escalade dans les rochers recouverts de bonne mousse, rive gauche, et d'atteindre l'usine électrique de Mouthier-sur-Loue puis de rejoindre le belvédère du Moine siège bien mérité du 3ième ravito( Km 20) , avant enfin le sommet de cette 2ième difficulté de Malchenaux 2km plus loin !!
Nous poursuivons en monotrace par des falaises étagées, des petits replats boisés, des corniches régulières , d’étroits défilés , des grottes, des rochers saillants qui donnent une dimension extraordinaire à cette puissante entaille naturelle, où le voisinage d’autres rivières souterraines est sensible!
Puis ce sera le retour à Mouthier Hautepierre par les sentiers de Longeville au bord de la Loue, puis un peu de tourisme dans les ruelles escarpées et typiques de Lods , prélude à une rude et dernière difficulté ( Km 29) qui marquera encore les organismes et les cuissots….avant une tabassante descente et délivrance finale !!
Fiche technique / résultats : 32 km, D+ 1700m. 4h42 -125ième / 158 classés. 7 VH2 . 4 ravitos (Km 4 , 12,5, 20(eau), 26). Temps clément Nuages et éclaircies, 10° -) 18°. Terrain glissant.
Jean-Pierre
Pour faire vite un petit CR de l'Urban Trail : Trail toujours aussi sympa a faire avec ses 6000 marches d'escalier et une belle visite de Lyon. Satisafait d'avoir mis - de 3h et fini 40eme mais un poil décu car j'ai fais une erreur de parcours et on m'a mal indiqué ==> je me suis retrouvé a la fin du peloton du 35km, donc j'ai fait demi tour pour retrouver la bonne trace. J'etais alors 22 eme au 1er temps intermédiaire, je me suis retrouvé aux environs de la 130eme place apres etre retourné a l'endroit de mon erreur. J'ai du perdre 7 à 10 minutes.
J'y retournerai cetrtainement l'anné prochaine ou de nuit en novembre (LUT by Night).
Une pente à 27.7% de moyenne.
Une montée de 2.4km pour 663m d'ascension mais un parcours total de 3.2km avec en guise de mise en jambes, un tronçon roulant sur la route de 890m entre la ligne de départ et la véritable montée.
Le principe : chaque concurrent doit effectuer le plus de montée possible en six heures non-stop. La descente se faisant en télécabine.
Julien Coudert signe l'exploit en étant le seul à effectuer neuf montées en 4h44!
Avec en prime le record de montée en 28’30’’ là où je mets au mieux 39’…..ça laisse rêveur, un autre monde !!
Je totalise pour la 3ième année consécutive 6 montées soit 19,8 Km et .....3978m de D+, ce qui était mon objectif. Après 4h30 en 2013, 4h38 en 2014, je signe mon parcours 2015 en 4h28 (78ième au scratch /215 classés, 6ième VH2), ce qui est ma meilleur performance sur ce cette course !!
Un grand merci à mes accompagnateurs et supporteurs qui m’ont encouragé et boosté sur le circuit !!
Rendez vous est pris pour 2016 avec peut – être 7 montées ….
Fiche technique : 3,2 km / D+ 663m .230 inscrits, 225 partants, 215 classés.